Branches familiales

De la Sicile aux horizons lointains

Chaque branche illustre un ancrage familial particulier une ville, une époque, une communauté. Ensemble, elles composent la fresque de la diaspora GIBILARO à travers le temps et les lieux.

Branches documentées

Vers 1600–Aujourd’hui

Branche d'Agrigente (XVIIe-Aujourd’hui)

Souche fondatrice documentée à Agrigente. Présence continue dans les paroisses locales, avec des lignées qui donneront naissance aux branches de Porto Empedocle et de Favara.

Vers 1800–Aujourd’hui

Branche de Porto Empedocle (XIXe–Aujourd’hui)

Foyer majeur du patronyme GIBILARO : du Molo di Girgenti (Regio Onorio) à Porto Empedocle. Point de départ de la diaspora vers la Tunisie, le Maroc, l’Angleterre et les États-Unis, tout en restant vivant aujourd’hui.

1900–1957

Branche Tunisie–Maroc (XXe siècle)

Couloir migratoire Porto Empedocle → Tunis, puis Casablanca/Khouribga. Implantations professionnelles et familles, avant départs vers la France.

Années 1950–Aujourd’hui

Branche de France (XXᵉ–Aujourd’hui)

Depuis le Maroc, les familles GIBILARO s’installent en France dès la fin des années 1950. Marseille devient un foyer majeur, mais d’autres implantations existent aussi dans différentes régions françaises.

1901–Aujourd’hui

Branche de New York (XXe–Aujourd’hui)

Deux rameaux issus de Porto Empedocle s’installent à Manhattan au début du XXe siècle. Mariages, naturalisations et vie dans Little Italy, avec une présence toujours active aujourd’hui.

1916–Aujourd’hui

Branche d'Angleterre (XXe–Aujourd’hui)

Lignée GIBILARO documentée à Londres dès 1916 avec Alfonso Vincenzo Giuseppe. Ses enfants nés à Saint Pancras, Wandsworth et Lambeth marquent l’implantation britannique du patronyme.

Comprendre les branches

Critères de définition

Une branche correspond à un foyer familial stable, identifié dans une région et une période donnée. Elle est définie par la répétition d’événements familiaux (naissances, mariages, décès) dans les registres sur plusieurs générations.

Sources utilisées

Les informations proviennent de registres paroissiaux, d’actes d’état civil, de dossiers de naturalisation ou encore de témoignages familiaux. Chaque donnée est vérifiée avant d’être rattachée à une branche.

Transmission & mémoire

Ces branches ne sont pas figées : elles continuent de s’enrichir au fil des découvertes et des contributions. Les rassembler, c’est donner corps à la mémoire collective et relier les générations, de la Sicile d’hier aux familles d’aujourd’hui.